Rapport Annuel 2022

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Mot du président et de la directrice générale

Pierre-Luc Leblanc, président, et Marie-Ève Tremblay, directrice générale des Éleveurs de volailles du Québec

La force de nos actions

Dans un contexte de relance économique postpandémique et d’inflation, le prix du grain et le coût des dindonneaux ont eu un impact sur nos coûts de production dans la volaille, en 2022. Nous avons su prévoir comment le marché réagirait face à cet enjeu économique et avons maintenu une bonne croissance pour notre viande de commodité qui répondait à la demande accrue des consommateurs. Cependant, nous avons dû composer avec une rareté de poussins ce qui a exigé des rencontres plus suivies avec nos couvoiriers.

La réalisation de l’allocation de production a représenté un défi pour la province dans les secteurs du poulet et du dindon, compte tenu des enjeux opérationnels chez les transformateurs et de la hausse du prix des intrants.

L’autre enjeu majeur de 2022 a sans doute été l’apparition de la grippe aviaire au Québec pour la première fois. Nous avions un plan d’action prédéfini, mais il a fallu le mettre en exécution. Nous avons coordonné les rencontres sur les pratiques de biosécurité, réorganisé la production afin de répondre aux besoins du marché, sans oublier le soutien psychologique apporté aux producteurs vivants des émotions difficiles.

Bien que notre province ait été une des moins touchées, en partie grâce à notre plan d’action, c’était une année particulière à cet égard. Nous avons travaillé étroitement avec les partenaires de la filière pour que chaque maillon rehausse ses mesures de biosécurité et qu’ensemble nous ayons une meilleure compréhension des risques.

Je remercie notre équipe d’audits à la ferme qui accompagne les éleveurs pour s’assurer du respect des programmes et des règlements relatifs à la salubrité et au bien-être animal.

La pérennité de nos entreprises, l’établissement d’une relève et l’accessibilité du quota ont figuré parmi les priorités de travail de l’organisation. Nous croyons qu’une filière forte doit assurer une saine concurrence entre les acteurs. C’est ce qui motive les EVQ lorsqu’ils élaborent des modifications aux règlements, mais également dans le cadre du renouvellement des conventions de mise en marché.

Le renouvellement quinquennal de la Convention de mise en marché du poulet a demandé, quant à lui, plusieurs journées de travail en comité, des consultations avec les éleveurs de volailles, des négociations avec les membres du Conseil québécois de la transformation de la volaille (CQTV) et des heures de préparation pour parfaire nos représentations devant les autorités gouvernementales de la Régie des marchés agricoles.

Nous sommes toujours en attente de cette décision, mais nous sommes fiers d’avoir su trouver de bons compromis pour favoriser la croissance des acheteurs-abattoirs existants tout en demandant l’ajout de nouveaux joueurs de toute taille afin de rester concurrentiels et de conserver nos parts de marché à l’échelle nationale. Nous avions l’objectif commun avec les transformateurs d’avoir la meilleure planification pour réaliser l’allocation du Québec.

Du côté réglementaire, tant dans le poulet que dans le dindon, nous avons mis en place des modalités comme des réserves de quota et des ajustements à l’allocation pour faire en sorte que le détenteur du droit de produire (le titulaire) produise lui-même son contingent.

Je tiens d’ailleurs à féliciter les membres du comité de réglementation qui ont travaillé fort pour le maintien du plafond de détention. Notre équipe d’avocats et de conseillers à l’interne nous a permis d’apporter de bons arguments devant la Régie. Il est clair que nous voulons occuper le territoire et conserver nos fermes familiales à dimension humaine, c’est l’une des valeurs les plus importantes pour les EVQ et nous ne baisserons pas les bras devant cette revendication légitime endossée par la société québécoise et canadienne.

En 2022, nous avons aussi optimisé nos analyses économiques et notre comité de communication a collaboré pour maintenir un haut niveau d’information disponible aux éleveurs que ce soit par : les réseaux sociaux, la centaine d’infolettres, les trois magazines, des fiches techniques, des vidéos ou de nombreuses mises à jour Web. De plus, nous avons fait des rencontres de cuisine dans les régions du Québec et nous avons fait de nombreuses consultations et sondages dans le but de mieux cerner les besoins des éleveurs, leurs préoccupations et leurs intérêts.

La proximité entre les éleveurs et la fédération des EVQ qui les représentent inlassablement, la possibilité de mieux comprendre les enjeux de chacun, les outils de vulgarisation des modifications réglementaires et les processus de définition de l’allocation ont justifié la tenue de ces rencontres et la diversité des formules adoptées pour joindre les éleveurs. Merci d’avoir été si nombreux à participer! Votre présence compte certainement plus que vous ne le pensez! Elle l’a également été pour la collecte des informations des coûts dans le dindon qui permet à l’organisation de définir des indicateurs afin de mieux appuyer nos demandes.

En collaboration avec notre comité marketing, nous avons aussi amorcé un important virage avec la création de deux logos pour que le consommateur puisse reconnaitre le poulet du Québec et le dindon du Québec en épicerie de même que dans les chaines de restaurants.

Bref, si j’avais à résumer la force de nos actions cette année en quatre mots, je dirais :

‘’partenariat, agilité, planification et j’ajouterais…communication!

***

Après dix ans passés à la présidence des EVQ, j’ai pris la décision de passer le flambeau. Ce qui me rend le plus fier du travail que nous avons fait ensemble : c’est que tous les acteurs de la filière avicole québécoise ont connu une rentabilité et une croissance et que nous avons un système de gestion de l’offre qui est fort. La gestion de l’offre constitue l’outil primaire que les éleveurs se sont donné et que l’on doit maintenir. En ce sens, les EVQ ont uni leur voix à celle du Bloc québécois en 2022 en appuyant le projet de loi C-282, Loi modifiant la Loi sur le ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement (gestion de l’offre) à la chambre des Communes.

Je retourne donc à mes activités entrepreneuriales, tout en étant convaincu que les Éleveurs de volailles du Québec sauront : maintenir leur leadership dans la filière avicole, continuer d’innover et avoir l’ambition de grandir sur la base de nos valeurs et de quelques fondements solides tel que le nouveau plan stratégique 2023-2026 réalisé ensemble au cours des derniers mois.

Pour réussir, il faut se rappeler nos objectifs et ne pas oublier pourquoi l’on fait les choses…c’est comme cela et par la force de nos actions que le secteur de la volaille va progresser au Québec et au Canada dans les dix prochaines années!

Pierre-Luc Leblanc
Président

Marie-Ève Tremblay
Directrice générale

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La production avicole au Québec (en chiffres, répartition par région)

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titulaires
0
emplois directs et indirects*
au Québec
0
G$ CA
en contribution au PIB
* Kevin Grier, Market Analysis and Consulting Inc. (2019). L’impact économique des industries canadiennes de la volaille et des œufs en 2018, adapté de Statistique Canada, Simulations de modèles des entrées-sorties, 22 février 2019.

Répartition au Québec

*À la suite de la répartition des quotas de production pour le poulet, des éleveurs demeurent en attente d’une confirmation de région de production.

Plan stratégique et priorités organisationnelles

Lors de l’avant-dernière année de leur planification stratégique 2019-2022, les Éleveurs de volailles du Québec ont pu réaliser une série d’actions visant à atteindre les objectifs ciblés du plan stratégique dans le respect de leur vision et de leurs valeurs. Ce plan est sous la responsabilité du comité exécutif.

Les 4 grands axes autour desquels le plan évolue sont :

1. Les EVQ et la vie associative. Favoriser les échanges et la communication.

Les membres du conseil d’administration ont établi plusieurs rencontres au cours de l’année afin de faire cheminer les mandats des délégués et les priorités de l’organisation, notamment concernant des enjeux réglementaires tant dans le poulet que le dindon. Pour pallier le maintien de mesures sanitaires limitant le nombre de rencontres avec les éleveurs, l’organisation a eu recours à la formule « hybride ». Les EVQ ont tenu des réunions avec les éleveurs à 22 reprises au cours de l’année 2021, dont 4 avec les délégués. Une journée d’information pour les titulaires de quota de poulet et une autre pour les titulaires de quota de dindon ont aussi eu lieu. La captation de plusieurs rencontres a également été rendue disponible pour une écoute en différé. Toujours soucieuse de mieux accompagner les éleveurs, l’organisation a également ajouté de nouvelles fiches techniques à celles développées l’an dernier, dont une sur la santé des troupeaux. L’objectif premier demeure toujours d’offrir des outils de communication pertinents et un service d’accompagnement adapté à chacun de nos membres. L’organisation a également bonifié le portail d’information pour les éleveurs afin de faciliter l’accès à la documentation. Un portail sécurisé en cours de développement sera déployé en 2022. La cellule de gestion de crise COVID a été maintenue et c’est un total de 24 rencontres auxquelles les Éleveurs ont participé en compagnie des représentants des producteurs d’œufs d’incubation, des éleveurs, des couvoiriers, des meuneries, des transformateurs de même que des intervenants des deux paliers des gouvernements provincial et fédéral. Les enjeux de la main-d’œuvre dans les équipes d’attrapage et dans les usines, l’euthanasie de poulets, de même que leurs impacts sur la planification de la production dans un contexte de pandémie ont été longuement abordés.

2. La viabilité du secteur. Assurer le développement et la pérennité des secteurs avec le système de la gestion de l’offre.

Les EVQ ont accordé une attention spéciale à la vulgarisation des grands principes du système canadien de la gestion de l’offre et à l’engagement de produire les volailles nécessaires pour les consommateurs canadiens afin de les rappeler aux partenaires et aux membres de la filière. Tous les éleveurs de poulets et de dindons répondent à ce contrat social d’offrir un produit de qualité en fonction des demandes des marchés.

Les EVQ ont participé aux rencontres d’allocation et justifié économiquement leurs estimations quant aux besoins du marché. La rigueur des analyses témoigne du souci de définir une juste allocation afin de répondre aux besoins des consommateurs canadiens en cours d’année, mais également de l’importance du système et de la capacité de réagir en temps de crise. Afin de réaliser leurs obligations, les EVQ ont demandé des plans de contingence aux partenaires de la filière afin de mieux planifier les actions des différents acteurs.

En 2021, le Programme d’aide au démarrage, le Programme d’aide à la relève et le projet pilote Production de poulets pour les marchés de proximité ont permis de donner un coup de pouce à 16 jeunes qui désirent faire de l’élevage de poulets leur projet entrepreneurial. Monsieur Marc-Antoine Paquet de Sainte-Florence dans le Bas-Saint-Laurent, gagnant du Programme d’aide au démarrage, pourra bénéficier d’un prêt de quota pour une durée de 20 ans. Quant aux 10 gagnants du projet pilote Production de poulets pour les marchés de proximité, ils pourront produire un contingent annuel allant jusqu’à 2 000 poulets. Ces éleveurs s’ajoutent aux 5 titulaires du Programme d’aide à la relève des Éleveurs. Ces programmes sont un moyen d’assurer le développement de la production et de répondre aux besoins du marché, tout en demeurant respectueux des règlements et des programmes de production en vigueur.

Les EVQ se sont aussi engagés à informer les éleveurs des performances du secteur à l’égard des pratiques d’élevage et des attentes sociétales concernant la production avicole. C’est d’ailleurs en mai que le secteur du dindon procédait au retrait de l’utilisation préventive des antibiotiques de catégorie III. Le retrait de ces antibiotiques est encore à l’étude pour le secteur du poulet alors que nous travaillons à l’évaluation des impacts associés à ce retrait, et ce pour l’ensemble de la filière.

3. Performance du secteur du poulet. Se doter de règles permettant de répartir, de produire et d’accroître l’allocation de poulet de manière innovante et respectueuse des meilleures pratiques.

Assurer une gestion des quotas en fonction des valeurs des EVQ et des principes de la gestion de l’offre, ceci afin de favoriser la viabilité des entreprises et de la relève, voilà le mandat premier que les EVQ s’étaient donné pour cet exercice triennal. Les modifications réglementaires déposées en février 2021 et visant la mise en place d’une réserve de quota et l’encadrement de la location de quota et de la production dans un bâtiment loué à long terme atteignent cet objectif.

Après plus de 14 ans, les logos Le Poulet du Québec et Le Dindon du Québec se sont dotés d’une fleur de lys afin de s’identifier fièrement québécois. Dans la foulée de l’achat local et avec des objectifs d’identification en tablette, il était temps de se démarquer et d’afficher clairement nos origines.

Le poulet occupe une place enviable et stable auprès des consommateurs, mais depuis quelques années de nouveaux joueurs comme les protéines végétales ainsi que les préoccupations grandissantes pour le bien-être animal et les impacts environnementaux nous ont poussés à revoir le positionnement du Poulet du Québec. Nous avons travaillé à actualiser son identité et à reconfirmer l’amour du consommateur pour cette protéine, parce que le Poulet du Québec, c’est le meilleur choix. Pour se conformer à cette toute nouvelle image, le site du Poulet du Québec a été revu de fond en comble et est dorénavant mieux conçu pour offrir aux consommateurs ce qu’ils cherchent.

4. Performance du secteur du dindon.  Valoriser la consommation du dindon et se doter d’un cadre favorisant le développement de sa production au Québec.

Comme mentionné plus haut, le logo du Dindon du Québec a également ajouté la fleur de lys à sa signature graphique. En collaboration avec les Éleveurs de dindon du Canada, dans le cadre de la campagne de marketing nationale, Le Dindon du Québec a réalisé des interventions promotionnelles et médiatiques durant toute l’année avec des mesures spéciales au début de l’année et lors des fêtes de l’Action de grâce et de fin d’année. À l’échelle provinciale, Le Dindon du Québec a fait son entrée dans les écoles de boucherie pour séduire une clientèle plus jeune. Ses qualités ont aussi été promues par le biais de collaborations avec le magazine RICARDO et avec l’Omnium Banque Nationale.

Les EVQ ont participé aux travaux des Éleveurs de dindon du Canada afin de définir les paramètres d’un système d’allocation national et ainsi garantir les parts de production québécoises, en tenant compte du type d’oiseaux produit et en respectant les principes de gestion de l’offre de la production.

De même, les EVQ ont adopté des modifications réglementaires visant la mise en place d’un calendrier afin d’effectuer un suivi de la production et ainsi s’assurer que la province respecte son allocation.

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Structure organisationnelle

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Conseil d’administration

L’organisation

Les Éleveurs de volailles du Québec regroupent les éleveurs de poulets et de dindons du Québec, détenteurs de quota de production. Chacun de ces éleveurs fait partie d’un syndicat régional. En tout, il existe cinq syndicats régionaux d’éleveurs de volailles au Québec.


Les dirigeants

Élus à tous les deux ans dans leur région respective, les présidents et les premiers vice-présidents des syndicats régionaux forment le conseil d’administration. Un membre du comité des éleveurs de dindon en fait également partie. Entre eux, ils élisent un président, deux vice-présidents et deux membres qui formeront le comité exécutif. Le conseil d’administration décide des orientations à donner aux politiques, à la réglementation et aux questions qui concernent les Éleveurs de volailles du Québec. De son côté, le comité exécutif voit aux affaires courantes et s’assure de l’application des décisions du conseil d’administration.


Conseil d’administration

Nombre de réunions du Conseil d’administration : 26
Nombre de réunions du Comité exécutif : 20

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Comité des éleveurs de dindon

Le Comité des éleveurs de dindon a pour mandat d’assurer le suivi des dossiers ayant trait spécifiquement à ce secteur aussi bien au national qu’au provincial. Au cours de l’année 2022, les sept membres se sont réunis à dix reprises. Ces réunions ont permis aux membres de faire avancer plusieurs dossiers.

La première partie de l’année a été fort occupée par les deux séances d’arbitrage accéléré de la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec sur le prix du dindon léger. Le cœur de ces différends avec les acheteurs repose sur l’écart disproportionné du coût des dindonneaux femelles entre le Québec et l’Ontario relevé à l’automne 2021 et qui perdure depuis. Ces deux processus se sont chacun soldés par une décision favorable aux éleveurs de dindon, qui ont ainsi vu leur revenu haussé de 4,8 cents/kg.

La deuxième partie de l’année a été consacrée à la finalisation des modifications au Règlement sur la production et la mise en marché du dindon pour la mise en place des fiches de production. Les modifications réglementaires ont été déposées à la Régie, laquelle conduira une consultation en 2023 pour se saisir des commentaires des intervenants avant de rendre une décision. Les travaux visant à permettre la saisie des cédules de production sur un portail sécurisé, et de les modifier en cours d’année, sont presque finalisés et les éleveurs peuvent déjà tester ses fonctionnalités.

Sur la scène nationale, les travaux de révision de la Politique d’allocation commerciale nationale se sont poursuivis lors de nombreuses rencontres, mais sans connaître un dénouement. Les trois plaintes enregistrées au Conseil des produits agricoles du Canada en 2022 démontrent que ce prolongement des travaux sur autant d’années commence à affecter l’établissement de l’allocation de production au pays. La pierre d’achoppement reste l’intégration dans la Politique d’un élément pour stimuler l’innovation.

La réalisation de ces travaux a été rendue possible grâce à l’implication des membres au sein de plusieurs sous-comités : le Comité exécutif dindon, le Comité de la réglementation du dindon, le Comité des approvisionnements et de la négociation des prix, le Comité de production, le Comité de la promotion et le Comité des communications et de la vie associative.

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Les comités

Le conseil d’administration peut compter sur le travail des comités consultatifs qui ont pour mandat d’étudier des dossiers spécifiques et de réaliser certains d’entre eux. Les membres du conseil d’administration sont répartis dans chacun des comités selon leurs intérêts. La composition des comités suit la tenue de l’assemblée générale annuelle.

Nombre de réunions : 31

Lise St-Georges, présidente du comité
Luce Bélanger
Mario Bérard
Pierre-Luc Leblanc
Louis-Philippe Rouleau

Nombre de réunions : 5

Louis-Philippe Rouleau, président du comité
Mario Bérard
Sylvain Lafortune
Pierre-Luc Leblanc
Yves Leblanc

Nombre de réunions : 3

Louis-Philippe Rouleau, président du comité
Steve Houley
Yves Leblanc

Nombre de réunions : 7

René Gélinas, président du comité
Pierre-Luc Leblanc
Martin Lemieux
Lise St-Georges

Nombre de réunions : 2

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Yvan Ferron
Calvin McBain
Jennifer Paquet, substitut

Nombre de réunions : 5

Jennifer Paquet, présidente du comité
Réjean Brouillard
Yvan Ferron
Steve Houley
Yves Leblanc

Nombre de réunions : 6

Calvin McBain, président du comité
Jennifer Paquet
Yves Roberge

Nombre de réunions : 5

Yvan Ferron, président du comité
Réjean Brouillard
Jennifer Paquet
Yves Roberge

 

Nombre de réunions : 3

Louis-Philippe Rouleau, président du comité
Luce Bélanger
Jennifer Paquet
Yves Roberge

 

Nombre de réunions : 1

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Luce Bélanger
Sylvain Lafortune
Martin Lemieux
Louis-Philippe Rouleau

Nombre de réunions : 5

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Luce Bélanger
Sylvain Lafortune
Martin Lemieux
Louis-Philippe Rouleau

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Personnel des EVQ

L’équipe de direction

Marie-Ève Tremblay, directrice générale
Richelle Fortin, directrice Affaires économiques
Nathalie Robin, agr, coordonnatrice Audits et programmes
Nathalie Dansereau, directrice Communications et marketing
Marc-André Joly, CPA, CA, directeur Finances et affaires réglementaires
Mélanie Savard, directrice Opérations de mise en marché
Jean-François Renaud, directeur Technologies de l’information


Les équipes d’employés

Sarah Joly-Simard, coordonnatrice aux affaires réglementaires

Direction générale

Valérie Cardin, adjointe administrative
Claire Duhamel, commis-secrétaire-réceptionniste


Direction
Finances et affaires réglementaires

Thu Bich Thi Tran, technicienne comptable
Annie Gingras, agente réglementation et programmes
Lina Peterkin, agente réglementation et programmes
Sarah Hachemi, technicienne administrative – déclarations et enquêtes
Éric Beaudin, responsable des transferts
Christiane Jetté, commis-secrétaire-archivage

Direction Affaires économiques

Aïchatou Laye Diop, agente de recherche économique
Nathalie Moreno, agente de recherche économique
Louise Vermeulen, chargée de projet

Direction Audits et programmes

Farid Baba, auditeur
Karine Banning, auditrice
Catherine Bouchard, auditrice
Catherine François, auditrice
Giovanni Gonzalez, auditeur
Manuel Pinard, agent de certification
Joëlle Forest, adjointe administrative


Direction Marketing et communications

Stéphane Barnabé, conseiller aux communications
Ephi Papakiritsis-L’Archer, conseillère aux communications numériques
Corinna Fortin Pop, agente marketing


Direction Opérations de mise en marché

Liliana Necula, analyste aux opérations
Sabrina Plourde, analyste aux opérations
Élise Boivin-Gionet, technicienne aux opérations
Élaine D’Adamo, technicienne aux opérations
Édith Oura, technicienne aux opérations
Chehisla Perez, technicienne aux opérations
Christopher Pierce, technicien aux opérations
Agnès Baudot, commis aux opérations

Direction Technologies de l’information

Saïda Azzoug, analyste d’affaires
Sophie Boissonneault, analyste d’affaires

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Syndicats régionaux

(Partie Montérégie, Saint-Jean-Valleyfield)
Secrétaire : André Young
3800, boul. Casavant Ouest
Saint-Hyacinthe (Québec)  J2S 8E3
Tél. : 450 774-9154
Téléc. : 450 778-3797
Courriel : ayoung@upa.qc.ca

(Outaouais-Laurentides, Lanaudière, Abitibi)
Secrétaire : Nathalie Michaud
110, rue Beaudry Nord
Joliette (Québec)  J6E 6A5
Tél. : 450 753-7486
Téléc. : 450 759-7610
Courriel : nmichaud@upa.qc.ca

(Mauricie, Centre-du-Québec)
Secrétaire : Pier-Yves Desrosiers
1940, rue des Pins
Nicolet (Québec)  J3T 1Z9
Tél. : 819 293-5838
Téléc. : 819 415-0858
Courriel : pydesrosiers@upa.qc.ca

(Montérégie-Est, Montérégie – MRC 460, 470 et 550)
Secrétaire : André Young
3800, boul. Casavant Ouest
Saint-Hyacinthe (Québec)  J2S 8E3
Tél. : 450 774-9154
Téléc. : 450 778-3797
Courriel : ayoung@upa.qc.ca

(Québec, Beauce, Côte-du-Sud, Capitale-Nationale, Côte-Nord, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Chaudière-Appalaches, Bas-Saint-Laurent et Gaspésie)
Secrétaire : Alain Roy
2550, 127e Rue
Saint-Georges-Est (Québec)  G5Y 5L1
Tél. : 418 228-5588
Téléc. : 418 228-3943
Courriel : alainroy@upa.qc.ca